Parents épanouis… chapitre 4 : Quand un enfant se fait confiance
On revient ici plus précisément sur les idées du chapitre 2 : leurs sentiments sont bien réels.
Tout d’abord, un sentiment est un fait.
Bien sûr, quand l’enfant nous dit : « On ne fait jamais… », on a bien envie de répondre « Tu plaisantes ? On l’a justement fait la semaine dernière ! » Mais est-ce bien ce qui compte ? L’important est plus de comprendre pourquoi il dit ça… « Tu as l’impression que.. ? »
Ensuite, comme évoqué dans le chapitre 2, valider les sentiments de l’enfant lui enseigne à avoir confiance en lui, à identifier ses propres limites.
Pas question de lui dire : « Ce n’est pas grave qu’il n’y ait pas de maître nageur, tu sais nager ! » ou « Ne t’inquiète pas, tu verras… »
Si lui ne se sent pas à l’aise, il a raison de se limiter.
Dans ce chapitre, les auteurs donnent l’exemple d’une petite fille qui ne se sent pas à l’aise avec le grand garçon qui l’entraîne dans les buissons et qui décide de s’écouter elle-même, et de s’enfuir…
Que pouvons-nous changer au destin de nos enfants en leur apprenant à s’ėcouter ?
Je suis satisfaite de penser que sur un certain plan, ça correspond bien à ce qu’on fait avec nos enfants depuis qu’ils sont petits, en agissant selon le principe suivant : trouve tes propres limites, saute si tu le sens, ne saute pas si tu ne le sens pas !
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