L’imaginaire, une nouvelle compétence…

Ça y est ! Nous avons bien appris maintenant à concéder dans l’imaginaire.

C’est un des premiers points que nous avions vus dans le premier chapitre de Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent.

Depuis, il n’est pas rare qu’on réponde à Léon des choses du type : « ce serait bien si on pouvait apporter nos jouets à l’école… Ce serait bien si on pouvait ne manger que du gâteau au chocolat ! »

Ce matin, j’ai ressenti une grande joie. Nous étions dans la voiture. Nicolas et moi amenions Léon et Anatole à l’école. Anatole pleurait et réclamait son doudou. Léon lui dit : « Anatole, ce serait bien si on pouvait avoir le doudou ! Mais malheureusement, il est pas là. » Anatole s’arrête de pleurer, et nico et moi nous regardons…
La répétition du modèle m’a ravie parce qu’elle prouvait 2 choses : que nous l’avions suffisamment assimilé pour que ce soit devenu un modèle, et surtout que Léon l’avait lui-même intégré comme une méthode d’acceptation face à une situation qu’on voudrait différente.

Nous lui avons donc bien mis une corde de plus à son arc !!

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