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Veiller à son niveau d’énergie

Être parent, ça demande une sacrée énergie ! Et j’ai tendance à penser : encore plus quand on veut avancer sur le chemin de la parentalité positive, sur lequel les attitudes parentales que l’on cherche à adopter ne sont pas toujours celles qui nous viennent spontanément…

Il est donc important, pour incarner le plus souvent possible le parent que l’on a envie d’être, de préserver notre énergie.

Et cela se joue sur deux plans :

veiller à notre propre énergie, de manière interne,

de préserver notre énergie dans nos interactions avec nos enfants.

Aujourd’hui, je vous parle de notre propre énergie…

La prochaine fois, nous nous focaliserons sur nos attitudes parentales.

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Préserver son énergie   

Aujourd’hui, je voudrais vous parler de préserver son énergie. Ce podcast est le premier de deux podcasts sur le sujet.

Pourquoi parler de ce sujet ?

Parce qu’il faut être honnête, quand on avance sur le chemin de la parentalité positive. Cela demande de l’énergie, c’est réellement un apprentissage. Ce n’est pas en adéquation avec ce qu’on a reçu, ni même avec ce qu’on voit encore au quotidien. Être un parent qui cherche à développer la parentalité positive, la parentalité bienveillante, c’est encore fonctionner à contre-courant, bien que ce soit de plus en plus connu, répandu, accepté, validé.

Validé, c’est un bon terme, parce que je pense que pour le coup, il n’y a plus beaucoup de personnes, qui sont en tout cas des connaisseurs, qui sont contre les principes de la parentalité positive.

On peut critiquer la pression que ça peut mettre aux parents, le côté injonction de la question. Mais les bienfaits, les bénéfices de la parentalité positive ne sont plus à prouver. Et d’ailleurs, il y a de plus en plus de démarches au niveau gouvernemental pour aller vers plus de soutien des parents dans un cadre de bienveillance. Alors, je m’égare un petit peu là ! Ce que je veux dire par là, c’est que ça reste encore différent du modèle qu’on a, et ça demande d’autant plus d’énergie dans notre apprentissage.

Comment apprendre la parentalité positive ?

En fait, je dis souvent à mes clients qu’apprendre la parentalité positive, c’est un peu comme apprendre une langue, c’est-à-dire que ça demande réellement, d’une part, de se former, d’apprendre la théorie, la grammaire, les outils, les formulations, mais également de s’entraîner, de se tromper et de pratiquer.

C’est comme une reprogrammation, un petit peu, de certaines zones de notre cerveau, qui avaient l’habitude de s’accrocher à des principes et des croyances, qui nous semblaient évidents et qu’on est en train de remettre en cause, de bousculer. C’est inconfortable, et  quand c’est inconfortable, ça demande encore plus d’énergie.

2 plans différents

Alors cette énergie, on va y veiller sur deux plans différents. Et c’est pour ça que j’ai coupé ce podcast en deux parties, puisqu’il était un peu long la première fois que je l’ai enregistré tout d’un coup. Donc, je recommence.

Et aujourd’hui, je vais me focaliser sur le fait de veiller sur notre propre énergie, indépendamment de notre rôle de parent. Et la prochaine fois, je vous parlerai de l’énergie qu’on gaspille “dans nos attitudes parentales”, l’usure de la répétition, en particulier.

Pourquoi parler de notre énergie ?

Parce que vous le savez, vous l’avez vu, chez les enfants comme chez nous, plus on est fatigué et moins on a de patience. moins on arrive à piocher dans nos ressources, plus on a l’impression que nos outils ne sont pas disponibles, qu’on n’en est pas capable. Et c’est comme si, parfois, on n’avait rien appris finalement.

Comme s’il y avait une personne en nous qui connaissait la théorie, qui s’en était nourrie, formée. Et puis cette personne-là, elle n’est plus accessible dans les moments où nous sommes vides. Parce que, comme ce ne sont pas encore des réflexes, notre cerveau va au plus vite à ce qu’il connaît.

Or, pour réussir à employer nos méthodes, pour réussir à se recentrer sur nos priorités, sur le parent qu’on a envie d’être et comment il se comporterait, il faut avoir une démarche consciente. On n’est pas encore complètement compétent de manière inconsciente. C’est le stade ultime des étapes de l’apprentissage d’être inconsciemment compétent.

Pour l’instant, comme on est encore en train d’apprendre, parfois, on est carrément, consciemment incompétent, c’est-à-dire qu’on se rend complètement compte que ce qu’on fait ne correspond pas. Mais dans certains moments, on réussit, on est souvent encore consciemment compétent, c’est-à-dire qu’on arrive à faire ce qu’on a envie de faire,  mais il faut pour cela faire intervenir notre conscience.

Or, quand on est vidé, on n’arrive pas à prendre le recul qu’il faut pour être conscient, pour agir en conscience.

Donc, la première étape, pour réussir à rester sur ce chemin de la parentalité positive, même si de temps en temps, on va faire des détours et c’est naturel, c’est de veiller à notre propre énergie.

Le sommeil

Alors, à quoi est liée notre énergie, notre fatigue, le fait d’être vite dépassé(e) ? D’abord, c’est tout simplementlié au sommeil, et c’est exactement comme les enfants. Comme vous le savez, les jeunes enfants, qui n’ont pas fait la sieste par exemple, vont râler toute la soirée. Quand ils se couchent trop tard, le lendemain, c’est difficile, ou alors en fin de soirée, c’est difficile.

Combien de fois m’est-il arrivé de me dire que les enfants pouvaient attendre un peu ? Et puis finalement, la fin de soirée se passait mal et il aurait mieux valu les coucher plus tôt. Finalement, c’était plutôt désagréable, pour nous comme pour eux. Donc la première chose, c’est le sommeil.

La difficulté, c’est de se mettre à dormir plus. Parce que c’est vraiment ça, concrètement, en tant que parents, on peut décider de dormir plus. Et comme ça, on sera plus en forme, plus reposé(e), plus patient(e) avec nos enfants.

La difficulté de cette situation, et c’est souvent ce que me disent les parents, auxquels je souligne l’importance du sommeil pour eux, c’est qu’ils me disent : oui, mais entre le moment où mes enfants se couchent et le moment où moi, je me couche, c’est en fait le moment où j’ai du temps pour moi ! Et donc, je n’ai pas envie de me coucher plus tôt. De plus, si mes enfants se couchent tard, je me retrouve à ne plus avoir de temps pour moi.

Trouver des espaces pour soi

Et pourtant, j’en ai besoin de cet espace. Et évidemment, je le comprends très bien ! On va en parler un peu plus tard, parce que ça fait aussi partie de cette démarche : de veiller à notre propre énergie, d’avoir des choses pour soi, des moments pour soi, en tout cas de faire des choses qui remplissent notre réservoir d’énergie.

La question, c’est : est-ce que dormir remplit aussi notre réservoir ? Donc je vous encourage à vous poser la question : comment pouvez-vous faire si vous avez effectivement l’impression que dormir un peu plus, vous ferait du bien, tout en ne changeant pas toutes vos habitudes forcément ? Je ne dis pas qu’il faut systématiquement, tous les soirs, se coucher plutôt que ce que vous avez l’habitude de faire.

Mais, c’est une des idées que je suggère au début de la formation Point de rencontre, une formation pour améliorer en profondeur les échanges avec vos enfants. Il y a peut-être d’autres pistes que vous pouvez explorer. Par exemple, à un moment, ce que je faisais, c’est qu’au lieu de me coucher un peu plus tôt chaque soir, je ne changeais pas mon heure habituelle de coucher mais, un soir par semaine, je me couchais beaucoup plus tôt (vers 21h, 21h30, j’étais au lit) et ça me permettait de recharger les batteries pour la semaine.

Tenir vos promesses envers vous-même

Alors, ce n’est pas forcément la meilleure méthode, ça dépend des gens, ça dépend de comment vous fonctionnez. Mais dans tous les cas, je vous encourage quand même à réfléchir à ça et aussi à comment “tenir vos promesses envers vous-même”. C’est-à-dire que si vous vous levez le matin en vous disant : “Oh là, là, je suis fatigué(e) ce matin, c’est difficile, ce soir, je me coucherai tôt”.

Essayez de vous faire confiance ! Ainsi, le soir, en vous couchant tôt, vous pourrez vous dire, je m’étais fait une promesse, j’ai envie d’être plus reposée et donc je me couche plus tôt. Même si pour une soirée, vous ratez un peu du temps pour vous-même.

J’insiste donc un peu là-dessus, ça a l’air évident, mais c’est souvent quelque chose qu’on néglige.

Le stress peut facilement nous épuiser

Ensuite, il y a évidemment tout ce qui est rythme, stress, qui peut facilement nous épuiser. Plus on a une vie stressante, et plus notre niveau d’énergie est bas, vide. Alors ça passe évidemment par une vie professionnelle, qui peut être stressante. On entend souvent ça : “Quand je rentre du travail, je suis déjà agacée. J’ai eu une dure journée et je n’ai plus la patience de faire face aux enfants”. Et je ne vais pas vous dire de changer de travail, d’abandonner ou de démissionner.

Peut-être que votre travail vous nourrit, peut-être que vous aimez certains aspects de ce travail et tant mieux, enfin, même beaucoup j’espère! Alors, sur ce plan-là, j’ai encore plusieurs questions à soulever. Ce ne sont pas des conseils que je vous donne, ce sont des questionnements que je voudrais vous encourager à vous poser régulièrement ! Parce que chacun est différent et vos solutions ne seront pas les nôtres, votre solution ne sera pas celle de votre voisin, de votre voisine. Donc, je vous encourage seulement à être conscient de vos choix et de vos décisions.

Fixer la limite

Par rapport à ce travail, si c’est vraiment une question de rythme et de fatigue, vous pouvez peut-être vous interroger sur l’opportunité de parfois terminer un peu plus tôt. Fixez votre limite différemment. Souvent, on fixe soi-même une limite, même de façon inconsciente, de l’heure à laquelle on part. De toute façon, on n’a jamais terminé son travail. Il va falloir le reprendre le lendemain.

Et donc, quelque part, si vous ne rentrez pas à 22h30, c’est bien qu’à un moment vous avez décidé qu’à 19h, c’était terminé.

Donc 19h, c’est OK ! Et si vous décidiez que vous finissiez à 18h30, est-ce que ça changerait réellement quelque chose ? Il y a des expériences qui ont été menées dans les pays où les gens travaillent beaucoup moins longtemps. Et, il en ressort qu’ils ne sont pas du tout moins productifs. Au contraire, ils sont beaucoup plus efficaces pendant le temps de travail à leur disposition. Donc ça, c’est une première question.

Poser son intention

La deuxième, c’est aussi l’image que vous renvoyez à vos enfants.

Alors ça, c’est un peu une digression. Ce n’est pas vraiment le côté énergie, mais c’est intéressant, parce qu’on se rend compte qu’on a souvent une certaine attitude face à nos enfants. Le soir, après le travail, voici une phrase type : “Attend ! J’ai eu une grosse journée, je suis fatigué(e). Je n’ai pas envie de passer plus du temps avec vous, je n’ai pas la patience”.

Mais finalement, dans ce cas-là, on leur transmet que du négatif et non pas le fait que notre travail peut aussi avoir des aspects chouettes. Donc, ce serait intéressant, et ça nous mettrait du baume au cœur, de nous dire : “Qu’est-ce qui était chouette dans mon travail aujourd’hui ?” Et donc de transmettre cette idée positive pour nous, et pour nos enfants également.

Déjà, ça va changer notre attitude ! Et enfin, si vous avez aussi ce problème de “stress du travail”, qui vous empêche d’être un peu plus tranquille et patient(e) le soir, je vous encourage à avoir un petit espace au moment où vous rentrez chez vous, pour ce que j’appelle : poser son intention.

Technique utiliser pour poser son intention

Et là-dessus, j’ai un article sur le blog qui s’appelle “La joie comme intention”, où j’expliquais, la technique que j’utilisais à un moment : quand je rentrais chez moi, je m’arrêtais une minute avant d’ouvrir la porte, pour laisser de côté toutes mes énergies négatives et pour me mettre dans une intention de joie au moment de retrouver mes enfants.

Parce que je m’étais rendue compte que sans faire ça, en fait, j’arrivais un peu fatiguée, avec l’envie de juste me poser et d’avoir justement quelque part cette parenthèse, cet espace de pause avant de rentrer dans la vie familiale. Et mes jeunes enfants, ils se précipitaient vers moi, tout joyeux : “Maman !”, tout contents de me retrouver. Et moi, je n’étais pas dans une bonne énergie pour les accueillir, alors que j’avais envie de savourer ce moment (parce qu’ils ne vont pas se précipiter vers moi en courant, en disant maman, jusqu’à la fin de leur vie).

Donc je me posais un peu, avant d’ouvrir la porte et je me donnais une petite minute à moi-même, pour respirer et pour me reconnecter à la joie que j’avais envie de ressentir quand j’ouvrirais cette porte. Et effectivement, ça changeait mon humeur quand je les  retrouvais.

Calmer le rythme

Voilà donc, ça, c’est l’aspect concernant le stress. Mais dans le terme rythme, il y a évidemment aussi le fait de faire moins de choses. C’est-à-dire qu’on parle, vous en avez peut-être entendu parler, de slow life, de slow parenting ou même, de réellement calmer le jeu en termes de choses à faire dans notre vie, de rythme de vie que l’on s’impose.

Donc, ça veut dire peut-être moins d’activités pour soi, ou pour les enfants. Donc, il est nécessaire parfois de faire des choix.

Ce n’est pas forcément ce qui vous correspond, mais il peut être nécessaire de calmer le rythme et de ne pas chercher à organiser des choses sans cesse, mais prendre juste le temps de profiter de l’instant, de vivre le moment sans avoir d’attentes. Souvent, ça aide aussi à préserver son énergie.

Trouver des choses qui nourrissent notre énergie

Une autre chose qui est importante, c’est de savoir quelles sont les choses que vous prévoyez. Parce que parfois aussi l’énergie, ça ne passe pas par faire moins de choses, mais bien par faire des choses qui nourrissent notre énergie, c’est-à-dire qu’il y a des choses qui nous mettent en énergie et d’autres qui nous vident.

Donc, c’est aussi à nous d’identifier quelles sont les choses qui sont réellement un plaisir,  celles qui nourrissent notre énergie, qui remplissent notre réservoir. Et puis celles qui, au contraire, vont nous user. Et il y a un petit exercice qui est intéressant pour ça, que vous pouvez faire tout(e) seul(e) ou en famille.

Il s’agit de faire la liste de ce qui vous fait du bien, de ce qui vous nourrit, de ce qui vous permet de vous sentir bien, de remplir votre réservoir. Le réservoir affectif, dont on a tous besoin pour avoir de bonnes relations en famille. Identifiez ce qui vous fait du bien, que ce soit seul(e) ou à plusieurs, et essayez de faire les faire un peu plus souvent. Et vous voyez que là, je ne suis pas dans le faire moins de choses, mais je suis dans le plus d’actions qualitatives à faire. En effet, c’est faire des actions supplémentaires qui vous plaisent, qui vont vous remplir en énergie. Et ça, c’est important !

Réagir avant que le réservoir soit vide

J’ai partagé récemment avec certains d’entre vous sur les réseaux sociaux avant de faire cet épisode. Et j’ai noté cette notion très importante, que m’a partagé une de mes clientes, de mes lectrices, qui m’a dit que pour elle, l’important, c’est de réagir avant que le réservoir soit vide.

Et là encore, on revient à cette notion de conscience, c’est-à-dire que souvent, quand on se dit qu’on a besoin de remplir notre réservoir, c’est qu’il est trop tard. On s’en rend compte parce que justement, on a dérapé, parce qu’on était usé(e)s, parce qu’on a perdu nos capacités, nos ressources parentales ou autres. Cependant, ça peut aussi se passer dans d’autres contextes, comme dans le couple par exemple. En effet, on peut réagir autrement que ce qu’on aurait voulu, et différemment de ce que l’on sait faire d’ailleurs.

Donc, ça nous fait en plus tomber dans la culpabilité, le cercle vicieux, etc… Donc avant d’en arriver là, une bonne pratique, c’est de se poser la question sur l’énergie. Et peut-être que c’est un peu ce que je vous disais tout à l’heure, sur cet espace à se donner avant de rentrer chez soi en rentrant du travail. Peut-être que c’est aussi un bon moment pour se donner l’occasion de se poser cette question justement, “Où en suis-je en termes d’énergie ?“ La réponse peut être : “Ah oui, ça va super bien, je n’ai aucun problème, je suis de bonne humeur, plein(e) d’énergie et plein(e) de patience”. Ou est-ce que la réponse est plutôt : “ Je n’en ai plus beaucoup et il va falloir que j’y veille ”  Et dans ces cas-là, n’hésitez pas à le communiquer aussi au reste de votre famille : “Je suis contente de vous retrouver et à la fois je me rends compte que je suis fatigué(e), que j’ai peur de ne pas être très patient(e), est-ce que vous seriez OK pour me laisser dix minutes pour un temps avec moi-même, pour remplir mon énergie (par exemple, avec une de vos activités que vous aviez identifiée comme vous faisant du bien) ?”

Voilà, cette notion de réagir avant qu’il soit trop tard. Ce n’est pas forcément facile, c’est-à-dire que ce n’est pas évident au départ de développer cette conscience de son niveau d’énergie. Donc, je vous encourage justement à le faire régulièrement.

Tomber au fond de notre réservoir

Et puis, quand vous n’avez pas pu le faire et que vous êtes tombé(e) au fond de votre réservoir, que vous étiez vide et que vous aviez mal réagi, dites-vous qu’à ce moment-là, vous avez fait de votre mieux. Votre mieux n’était pas top, mais c’était de votre mieux : si vous avez réagi comme ça, c’est que vous n’aviez pas pu faire autrement. Et donc, il n’est pas question de rester englué(e) dans une culpabilité qui vous fait vous dire que vous n’êtes pas capable.

C’est plutôt : comment je peux faire pour la prochaine fois, réagir avant d’en arriver là pour que mon mieux soit mieux ?

Voilà, j’espère que ça vous donnera des pistes. Et donc, dans mon prochain épisode, je vous parlerai plutôt de comment préserver son énergie réellement dans nos attitudes parentales avec nos enfants,  pour éviter de s’user à répéter à l’infini les mêmes choses.

Si vous pensez que ce podcast peut intéresser d’autres parents, je vous encourage à le partager, vous pouvez également vous abonner à la chaîne des podcasts des 6 doigts de la main sur la plateforme qui vous convient et aussi à aller consulter le site internet.

À bientôt.

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