La méthode en 4 clefs pour enfin arrêter de crier, donner un exemple positif à ses enfants et retrouver une maison paisible.
En tant que parent, on gère beaucoup de choses en même temps.
Arrivé la fin d'une longue journée, fatigué et à bout, la patience ne tient plus qu'à un fil. Il suffit parfois d'un bol au milieu du salon pour qu'on craque et se mette à crier.
(Moi, j’appelle ça "le moment où je me transforme en sorcière")
On s'était pourtant dit le matin, plein de bonnes intentions : “Aujourd'hui, je ne vais pas crier !”
Mais quand on a l'impression que c'est la seule façon de se faire écouter et respecter, les cris deviennent un mode de communication par défaut.
On a le sentiment de n’être là que pour faire la police et de constamment crier.
Sous la colère, nos mots peuvent laisser nos enfants se sentir indignes, mal aimés et mal acceptés.
Alors quand la crise est passée, nous sommes anéantis d’avoir dégoupillé, on commence à imaginer notre relation se dégrader de plus en plus et les conséquences sur l’adulte qu’il sera plus tard.
Et là, c’est la culpabilité qui nous envahit.
Je suis Coralie du site Les 6 doigts de la main et maman de 4 enfants, de 7 à 19 ans.
Comme tous les parents, j’ai connu avec eux des moments merveilleux, et des moments de cauchemar comme je le décris plus haut.
L’éducation m’a toujours intéressée. J’ai même suivi une formation de guide Montessori lorsque j’étais enceinte de ma deuxième.
Pourtant, il y a 7 ans, en 2014, suite à un déménagement, je me suis retrouvée dans une situation qui ne correspondait absolument pas à ce que je voulais pour notre famille.
Fatiguée, stressée et dépassée, j’employais de plus en plus régulièrement des méthodes qui ne fonctionnaient pas.
Mes "moments de sorcières" étaient beaucoup trop fréquents.
L'ambiance à la maison était électrique.
reproduisant ce que je lui montrais, sans le vouloir ! Mon comportement était contagieux.
Là, j’ai compris. J’ai compris que cela devait changer tout de suite.
Je ne voulais pas donner cet exemple à mes enfants et ce n'était pas la maman que je rêvais d'être.
Il était temps que j'y mette un point final.
À l'aube de l'année 2015, au moment des bonnes résolutions, j’ai décidé d’en prendre une : arrêter de crier.
J'ai fait ce pacte avec moi-même, pour ma famille, et n'ai plus jamais regardé en arrière.
Alors j'ai cheminé : je me suis éduquée sur la question, j'ai cherché des solutions et j'ai expérimenté plein de choses.
La dynamique familiale s'est transformée au quotidien. Toute la famille est plus détendue et plus sereine. Le plus beau, c'est quand je vois mes enfants appliquer par eux-mêmes les méthodes que j'utilise maintenant.
Ça me rend à la fois fière et confiante pour leur futur.
J’ai énormément évolué, même si je ne suis pas une maman parfaite — simplement parce que cela n’existe pas — ni toujours zen, et je n’y aspire pas.
Non, il n’est pas possible de ne jamais se mettre en colère, mais ma manière de l’exprimer est différente. Je ne parle pas toujours gentiment, mais je crie très rarement.
Je continue d'apprendre tous les jours et c’est devenu mon métier. Aujourd'hui, je suis accompagnante en éducation positive.
Pourtant, je viens de loin ! Je n’étais pas de nature calme, et je ne le suis toujours pas, mais j’ai appris à changer ma façon de réagir aux événements. J'ai appris à considérer mes enfants avec bienveillance et à les impliquer dans ma démarche éducative.
Bien sûr, ça n'a pas été facile, mais le résultat en vaut largement la chandelle.
Si vous êtes là aujourd'hui, c'est que vous ressentez forcément de la culpabilité de crier sur vos enfants.
Je vous rassure, la culpabilité est un signe de bonne santé psychologique.
Et oui, que serait un monde sans culpabilité ? On verrait : un manque de scrupules, un égoïsme absolu, un manque d’empathie... Bref, éradiquer la culpabilité ne serait pas une bonne idée !
Comme tous les sentiments, la culpabilité a bien une raison d’être.
C'est elle qui vous sépare de ceux qui n'en ressentent pas et qui ne se remettront jamais en question.
Alors, voyez la culpabilité non pas comme un frein, mais comme un moteur pour vous transformer.
Pour moi, la décision d'arrêter de crier était ma priorité et un nouveau point de départ qui a changé énormément de choses.
Mais rester toute seule dans mon coin à attendre que j'arrive magiquement à arrêter de crier alors que j'ai exactement les mêmes méthodes, les mêmes connaissances, les mêmes réflexes et le même environnement, ça ne serait jamais arrivé.
Le jour où j'ai décidé de changer, je suis vraiment passée à l'action. Je me suis formée, j'ai lu, j'ai expérimenté des choses.
Après 7 ans de recherches et d’expérimentations, j'ai compris ce qui fonctionnait vraiment et c'est ce que j'aimerais partager ici avec vous.
Mais avant de vous donner les clefs qui m'ont aidée, commençons par détruire un mythe.
Nous avons peut-être tous eu cette image du parent idéal qui ne s'énerve jamais. Qui fait face à n'importe quelle situation avec sang-froid, calme et diplomatie.
En réalité, nous sommes humains. La colère est une émotion nécessaire et il n'est pas question de la supprimer. Pendant notre voyage en tant que parents, nous allons tous avoir des moments de colère, et c'est normal.
La colère indique qu'une de nos limites a été dépassée (à tort ou à raison) et il faut le faire savoir.
À l'inverse, enfouir ce sentiment sans l'exprimer est la meilleure façon de faire grandir en soi un monstre qui finira un jour ou l'autre par sortir. Ce monstre abîme nos relations.
Donc la colère n'est pas le problème. Nous n'avons simplement pas appris à l'exprimer de la bonne manière.
Or, il est important que les enfants apprennent à l'exprimer eux aussi pour qu'ils puissent développer un caractère solide et ne pas se faire marcher dessus.
C'est à nous de montrer le bon exemple.
Tout comme chercher à être parfaitement zen, chercher à être "prête" est une quête à la perfection impossible.
La théorie c'est bien, mais dans la vraie vie, on se retrouve toujours à réagir différemment, et ça ne marche pas toujours.
Être parent ça s'apprend en même temps que nous expérimentons, d'une manière totalement imparfaite.
Pour embrasser les principes d’éducation positive, il faut savoir accepter notre imperfection.
Sinon on le vit mal, on est encore plus stressé, et le progrès aura bien du mal à se faire sentir !
On dirait que vous allez bien une minute, puis criez la suivante.
Quand vous y repensez, vous ne pouvez pas comprendre pourquoi vous avez perdu la tête. Votre enfant n'était pas si insupportable, vous étiez juste dépassé et en colère.
Mes recherches m'ont amenée à découvrir les vraies origines.
Et cela n'a généralement rien à voir avec les enfants.
Avant tout, il est indispensable de comprendre l'origine des cris et pourquoi il est si difficile de changer, même si on sait faire mieux.
Nous sommes pris au piège d'un schéma que nous reproduisons involontairement.
Le voilà notre problème central. Celui qui est à la source de tout le reste. Notre société dans son ensemble reste dans un schéma et le reproduit.
On a vu nos parents crier, ceux des autres aussi, ainsi que pas mal d'autres adultes comme nos enseignants. Mon fils Léon, par exemple, ne veut plus aller en colonie : il trouve que les activités sont super, mais que les adultes crient trop.
Au fur et à mesure que nous avons été témoins de ces comportements en grandissant, nous les avons simplement intégrés.
À défaut de savoir comment s'exprimer autrement, et par manque d'énergie, on retombe dans ce mode de communication.
Heureusement, le cerveau est un organe bien fait et il toujours possible de le changer !
Plus on lit sur l’éducation positive, et plus on se met à croire à ce modèle inspirant et bienveillant. On croit enfin qu’un monde meilleur est possible grâce à l’éducation.
Cela fait de la parentalité une responsabilité d'autant plus importante.
Nous avons pris conscience de ce qu’il se passait. Plus possible de se mettre des œillères. Il va falloir tenir compte de ces informations et évoluer.
Nos enfants sont l'avenir. Nous voulons qu'ils soient bons et forts. Nous voulons qu'ils réussissent et qu'ils soient heureux.
À côté de ça, tout autour de nous, les médias et la société en générale nous envoient de nombreuses injonctions (fais pas ci, fais pas ça). Combien de fois ai-je lu que la parentalité positive créait un sentiment de culpabilité chez les parents ?
Et pour finir, nous subissons aussi le jugement (et les remarques) des grands- parents, qui eux ont connu un autre modèle.
Difficile de ne pas ressentir beaucoup de pression.
Alors on est un peu coincé.
Coincé entre ces aspirations, et les manières de faire que l’on a apprises, et dont on est encore témoin au quotidien tout autour de nous.
Lorsque l’on veut en sortir et que l’on cherche à éduquer nos enfants selon un autre modèle, il se passe alors deux choses :
Ce qui nous amène à la troisième raison de nos cris.
La fatigue est l'ennemi numéro un du parent positif.
Lorsqu'on manque d'énergie, on oublie facilement les bonnes pratiques, on a moins de patience et on est beaucoup plus émotionnels.
Il y a 3 causes de fatigue :
En devenant parent, dans la précipitation du quotidien, nous avons oublié de prendre des moments pour nous. Ces moments sont pourtant indispensables pour recharger ses batteries.
On manque d'énergie pour combattre nos vieilles habitudes et nous armer de plus de patience, par manque de meilleurs outils on tombe dans les cris, ce qui nous culpabilise et nous épuise davantage.
Et voilà un joli cercle vicieux.
Vous comprenez maintenant que le problème vient de nos perceptions, nos habitudes ancrées et nos aspirations.
Curieusement, c'est exactement ce cocktail qui est la cause de votre culpabilité.
Voilà ce que nous explique Camille Sépulchre :
Dit autrement, la culpabilité vient du fossé entre votre réalité et votre idéal.
C'est là que tout se joue vraiment.
Plus ce fossé est grand, à cause d'un idéal inatteignable et d'une réalité déformée, plus vous êtes découragé et culpabilisé.
Pour réussir à changer durablement, vous devez transformer la façon de voir votre réalité et votre idéal, afin de réduire ce fossé.
Tant que vous garderez le même regard sur votre enfant, les mêmes méthodes, en essayant seulement de changer la forme, ça ne marchera pas.
Ce qui m'amène à vous proposer les 4 clefs qui m'ont aidée à changer.
Le changement commence par devenir conscient de ce qui se joue en nous, être à l'écoute de la colère qui pointe son nez et examiner les situations qui l'enclenchent.
Ces observations nous permettront d'être avertis et d'apprendre à reprendre le contrôle sur nous-mêmes, petit à petit.
Ensuite, nous devons changer notre perception de la réalité qui est voilée par nos jugements, nos croyances et notre éducation.
Quand notre enfant laisse un bol de céréales au milieu du salon, ce n'est pas pour nous punir des méfaits que nous avons pu faire dans une autre vie.
Alors, il est important de comprendre leurs limites naturelles et leurs besoins fondamentaux qu'ils expriment par des comportements parfois surprenants.
Avec ce nouveau regard, on peut veiller à mettre en place un environnement propice à la parentalité positive.
Ainsi, nous gagnons plus de tolérance, de patience, et gardons de l'énergie pour mieux mener notre combat.
Puis, il est nécessaire de s'imaginer un idéal réaliste et de revoir notre conception de la perfection.
On apprend à ne pas enfouir sa colère, mais à savoir l'exprimer sans dévaloriser nos enfants, pour qu'eux aussi apprennent à poser leurs limites.
On retrouve du temps pour soi, sans s'en vouloir, afin de recharger ses batteries et mieux savourer le temps avec sa famille.
Et finalement, accepter que la parentalité est un apprentissage continu et imparfait.
Même moins fréquent, il y aura des erreurs et de la colère. L'important est de savoir renouer avec notre enfant et réparer nos erreurs lorsqu'elles arrivent.
Mais surtout, de ne pas oublier tout le chemin parcouru et l'apprécier tous les jours.
Si c'est le cas et que vous aimeriez aller plus loin, j'ai créé un atelier pour vous :
La méthode en 4 clefs pour enfin arrêter de crier, donner un exemple positif à ses enfants et retrouver une maison paisible.
"Des clefs pour arrêter de crier" est un atelier vidéo pour les parents qui n'en peuvent plus de donner cet exemple à leurs enfants et qui veulent enclencher un changement durable une fois pour toutes.
Je vous montre les 4 clefs nécessaires pour sortir des conditionnements sociaux, répondre autrement à la colère et retrouver une maison paisible.
En 90 minutes, cet atelier se veut court et concret pour vous donner mes méthodes et astuces à appliquer dès ce soir, afin de :
C'est un nouveau point de départ pour tous les parents.
L'atelier vidéo de 90 minutes est divisé en 6 parties :
Pour vous aider dans votre réflexion tout au long de l'atelier. Il vous permettra de garder trace de vos réflexions, et d'ancrer les clefs pour les mettre immédiatement en application.
La carte mentale de tout l'atelier pour vous aider à suivre et avoir un résumé visuel à imprimer.
Après votre achat, vous avez 10 jours pour visionner l'atelier complet, appliquer mes conseils - et décider s'il correspond à vos attentes.
Si vous n'êtes pas satisfait, il vous suffit d'envoyer un email pour être remboursé à 100%, quelle que soit votre raison.
Tarif : € 69
“C'était très complet, j'ai remarqué plusieurs fois que j'avais des questions, et en fait, par la suite, il y a eu des réponses. J'ai beaucoup apprécié.”
- Camille
“L'atelier aide à ne pas se sentir seul face aux problèmes du quotidien, on peut trouver les ressources en nous pour pouvoir appliquer la théorie, c'est génial de voir des personnes qui partagent les mêmes choses.”
- Katarina
“L'atelier va m'aider à traverser mes moments actuels et à revenir sur le chemin de l'éducation que j'ai choisie, à garder le fil conducteur que je souhaite transmettre, même si ce n'est pas tous les jours facile.”
- Sandrine
“L'atelier me conforte dans l'envie de continuer à transmettre une éducation positive et me remets sur le chemin. Cela va beaucoup m'aider à retravailler sur mon idéal. Nous ne sommes pas parfait, et il faut arrêter de nous culpabiliser.”
- Laetitia
“Tout n’est pas encore parfait et ce n’est pas le but. En revanche toute la famille avance sur le chemin avec la carte et la boussole transmise par Coralie. Je me sens à la fois armée pour faire face aux éventuels conflits et défis qui ne manqueront pas de se présenter à nous et en même temps je n’ai enfin plus de doutes sur cette approche de la parentalité.”
- Emilie, à propos du programme POINT DE RENCONTRE et de mon approche
Vous vous sentez un peu inquiet...
Je fais naître un espoir en vous, mais est-ce que ça va marcher ? Est-ce qu'un atelier va vraiment vous permettre d'arrêter de crier ?
Alors, soyons clairs :
Tout ne va pas changer du jour au lendemain, évidemment. Ce serait vous mentir que de vous promettre cela.
Mais cet atelier va réellement vous donner les clefs pour prendre un nouveau chemin, pour avancer vers une ambiance plus sereine.
Vous, vous CHOISISSEZ d'arrêter de crier, et moi, je vous promets qu'après avoir vu cet atelier :
Je n'ai pas envie de vous rappeler cela, mais vous le savez :
Si vous n'agissez pas, rien ne changera. Vous continuerez à vouloir arrêter de crier, mais à crier quand même.
Je vous propose ici une action concrète, une vraie mise en route, et elle est garantie.
Alors, que voulez-vous pouvoir vous dire dans six mois, un an, cinq ans ?
Que rien n'a changé ? Ou bien que vous avez agi pour que ça bouge ?
À vous de le décider.
Vous recevez directement l'accès à la formation par email. Vous pouvez tout de suite commencer à la visionner et télécharger le contenu bonus.
Vous y accédez quand vous le voulez, d'où vous le voulez, autant de fois que vous le voulez.
Bien sûr ! En vous inscrivant à l'atelier, vous recevrez le lien pour le visionner à votre rythme, quand vous voulez, en une fois ou en plusieurs bouts, et autant de fois que vous le voulez.
A chaque fois que vous aurez besoin d'un nouveau boost, vous pourrez y revenir !
Tout âge ! Les difficultés de parents existent avec de jeunes enfants comme avec des ados.
Je suis moi-même maman de 4 enfants de 19 à 7 ans, et ce que j'ai appris à tout de suite été applicable pour tous.
Lorsque j’ai commencé à développer mes compétences, mon plus grand avait déjà 11 ans, presque 12. Pendant toute son adolescence, notre relation a été bien meilleure que tout ce que je vois autour de nous.
Et en même temps, plus on peut commencer notre cheminement tôt, mieux c’est, pour eux comme pour nous !
Vous avez 10 jours pour changer d'avis, même si vous avez déjà visionné l'atelier. Durant ces 10 jours, il vous suffirait de m'écrire un mail pour m'expliquer que l'atelier ne répond pas à vos attentes.
Tarif : € 69
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