Toutes les études le prouvent, les neurosciences le confirment : crier sur ses enfants est nocif.
Dans cette étude de Montréal, il est montré que les adolescents qui ont été élevés dans une ambiance de cris, menaces, punitions.. développent une sorte d'inhibition à la peur.
Ils perdent leur faculté à détecter les situations dangereuses.
Conclusion claire : il vaudrait mieux éviter de crier sur ses enfants !
Ok.
Mais c'est plus facile à dire qu'à faire...
Si je passe mon temps à me dire à moi-même
"Je ne dois pas crier, je ne dois pas crier"
ça ne marche pas !

Le scénario est clair...
On part plein de bonnes intentions : "Ce matin, je ne vais pas crier !"
Ça part d'ailleurs plutôt pas mal, mais...
mais il faut dire 12 fois qu'il est l'heure de s'habiller, d'aller se brosser les dents ;
les choses trainent : "Mets ton manteau, tes chaussures, on y va !!"
L'heure file, on va être en retard !!!
et on craque.
"ÇA SUFFIT, MAINTENANT, METS TON MANTEAU !!!"
On a l'impression d'une double lutte :
- lutte contre les enfants, à qui il faut répéter sans cesse, et ça nous épuise
- lutte contre nous-mêmes, parce qu'on essaye à tout prix de ne pas craquer, de ne pas crier... et ça nous épuise encore plus !
Le pire ? C'est qu'au moment où on crie, ça nous soulage.
Donc, on a envie de continuer, et on ne s'en sort pas.
Oui, mais après... ?
Après, on tombe dans la culpabilité... et c'est pire qu'avant !
On se dit qu'on y arrivera jamais, qu'on peut plus supporter ça... et on croit encore moins en nous-mêmes.
"C'est usant..." devient une phrase du quotidien.
→ Commencez par changer de vocabulaire :
Voyez comment c'est en vous quand vous changez ce "Il faut que j'arrête de crier." en "Je choisis d'arrêter de crier."
Qu'en dites-vous ?
Si c'est vraiment votre CHOIX, et non une injection, l'énergie que vous y mettrez sera toute différente. Vous ne subissez plus, vous devenez acteur... d'où l'étape suivante :
→ Puis passez à l'action
Vous devenez acteur, donc vous reprenez le contrôle.
Vous pouvez décider de mettre en place les actions qui vont vous permettre d'arrêter de crier.
1. Comprendre : pourquoi on crie, pourquoi on se sent coupable
2. Changer notre perspective - et même notre perception, pour moins nous mettre en colère
3. Accepter notre colère, et apprendre à l'exprimer autrement
4. Grandir en conscience
Ce dernier point vous semble peut-être obscur, mais il est fondamental.
Quand on crie, on perd le contrôle.
Devenir conscient de ce qui se joue en nous, être à l'écoute de la colère qui monte, c'est reprendre le contrôle sur nous-mêmes.
Parfois, on parle de "parentalité consciente", c'est bien de ça qu'il s'agit ici !
L'idée à retenir :
Arrêter de crier demande de modifier un peu le rapport avec votre enfant.
Tant que vous garderez le même regard sur votre enfant, les mêmes méthodes éducatives, en essayant seulement de changer la forme, ça ne marchera pas.
Sortez un peu de vos sentiers battus, et découvrez qu'il est possible de faire autrement !
Un parent qui ne crie pas, qu'est-ce que ça donne ?
Le parent qui ne crie pas prend d'abord soin de lui.
Ce n'est pas qu'il est égoïste, c'est qu'il a compris que pour garder son fil conducteur, il a d'abord besoin de s'écouter.
Il écoute quand l'agacement pointe le bout de son nez.
Il est capable de prendre du recul, de l'analyser, et de redresser le tir.
Ça peut prendre plusieurs formes redresser le tir :
- prendre du recul pour comprendre l'enfant, et éviter de s'agacer
- exprimer ce qu'il se passe en lui
- s'isoler un moment, parce que c'est tout ce qu'il peut faire à ce moment-là...
Dans tous les cas, il garde intacte la relation avec son enfant.
Il sait se reconnecter à son idéal.
Il sait qu'il a le contrôle, qu'il a le pouvoir sur lui-même, et que, grâce à cela, il est capable d'aider son enfant à grandir.
Il se sent fier du chemin parcouru, et il sait se nourrir de ses succès.
Alors, il peut savourer les moments partagés, et accueillir les moments qui se présentent avec une patience dont il ne se croyait pas capable.
Il se sent enfin apaisé.
Ça vaut le coup d'essayer, non ?

Mon envie : donner des clefs aux parents.
En fait, je me suis rendue compte qu'être parent, ça s'apprenait.
On croit que non, parce qu'on a déjà vu faire...
Mais justement ! On a vu les autres parents crier.
Ainsi que pas mal d'autres adultes d'ailleurs.
On s'est fait crier dessus par nos professeurs...
Et, même si les choses progressent, ça continue encore pas mal !
Mon fils Léon ne veut plus aller en colonie : il trouve que les activités sont super, mais que les adultes crient trop...
Alors, comment on fait pour apprendre autre chose, pour sortir de ce schéma qu'on reproduit involontairement ?
C'est le but de cet atelier : vous permettre de choisir un autre chemin !


Dans cet atelier, vous découvrirez :
- Pourquoi la colère n'est pas le véritable problème
- Les deux manières de réagir à la culpabilité
- Une phrase magique pour modifier notre perception de la situation
- Mon astuce applicable dès aujourd'hui pour sortir des cris
- Les liens insoupçonnés entre les besoins de nos enfants et nos cris
- Les attitudes du parent positif pour faire baisser la tension
- La vraie manière d'exprimer sainement sa colère, sans briser le lien avec nos enfants
Vous vous sentez un peu inquiet...
Je fais naître un espoir en vous, mais est-ce que ça va marcher ?
Est-ce qu'un atelier va vraiment vous permettre d'arrêter de crier ?
Alors, soyons clairs :
tout ne va pas changer du jour au lendemain, évidemment.
Ce serait vous mentir que de vous promettre cela.
Mais cet atelier va réellement vous donner les clefs pour prendre un nouveau chemin, pour avancer vers une ambiance plus sereine.
Vous, vous CHOISISSEZ d'arrêter de crier, et moi, je vous promets que :
Après avoir vu cet atelier :
- Vous vous sentirez moins seul(e) !
- Vous aurez les clefs de compréhension qui vous permettront de moins vous énerver
- Vous comprendrez comment adapter l'environnement pour éviter l'usure et la perte de patience
- Vous saurez comment réagir dans les moments de colère
Avec comme objectifs clairs :
- Découvrir dès aujourd'hui des méthodes pour ne plus basculer dans les cris
- Disposer ensuite d'astuces concrètes pour que peu à peu la relation avec votre enfant s'améliore
- Gagner en sérénité
Vous voyez ce mythe du parent positif qui ne s'agace jamais ?
Ce n'est pas ma vision des choses...
Nous sommes humains, et nous le restons.
La colère, en particulier, fait partie des émotions utiles. Il n'est pas question de la supprimer.
Mais, grâce à l'atelier, vous aurez déjà une perception des situations qui suscitera moins de colère,
et, surtout, dans les moments où elle viendra, vous saurez l'exprimer autrement qu'en criant.
RECEVOIR L'ATELIER ET AVANCER ENFIN VERS VOTRE RÊVE
Atelier d'environ 1h30 (Replay) - à visionner à votre rythme !
✚ Carnet de travail pour prendre vos notes personnelles sur l'atelier et travailler sur VOTRE famille
✚ Carte mentale de la présentation - pour re balayer rapidement le contenu à tout moment
✚ Liens vers les ressources évoquées dans l'atelier
Je n'ai pas envie de vous rappeler cela, mais vous le savez :
si vous n'agissez pas, rien ne changera.
Vous continuerez à vouloir arrêter de crier, mais à crier quand même.
Je vous propose ici une action concrète, une vraie mise en route, et elle est garantie.
Alors, que voulez-vous pouvoir vous dire dans un an, un mois, un jour... ?
Que rien n'a changé ?
Ou bien que vous avez agi pour que ça bouge ?
A vous de le décider.
- L'accès à l'atelier : environ 1h30 d'atelier en ligne, à visionner quand vous le voulez, d'où vous le voulez, autant de fois que vous le voulez
- Le carnet de travail téléchargeable et imprimable - avec des zones pour les notes, pour les exercices, pour les concepts à retenir. Il vous donne une trame en suivant l'atelier, et vous le ferez vôtre.
- La carte mentale de l'atelier - pour pouvoir revenir facilement sur les notions couvertes, de manière la plus facile possible.
- Des liens vers les ressources supplémentaires évoquées lors de l'atelier.
Tout âge !
Les difficultés de parents existent avec de jeunes enfants comme avec des ados.
Je suis moi-même maman de 4 enfants de 18 à 7 ans, et ce que j'ai appris à tout de suite été applicable pour tous.
Lorsque j’ai commencé à développer mes compétences, mon plus grand avait déjà 11 ans, presque 12. Pendant toute son adolescence, notre relation a été bien meilleure que tout ce que je vois autour de nous.
Et en même temps, plus on peut commencer notre cheminement tôt, mieux c’est, pour eux comme pour nous !